Huiles sur papier, 20×30 cm; huiles sur toile, 40×50 cm
Mon voyage en Islande s’est passé au printemps, pendant le dégel. J’ai découvert une terre aux vastes horizons, aux reliefs bas, aux contrastes saisissants.
L’eau y côtoie les minéraux, elle est présente sous toutes ses formes en même temps : glacée, liquide, vapeur brûlant. Boue primordiale, elle parle aussi de pureté, d’éblouissement, de dépassement.











